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Le haut potentiel, la douance, la précocité, la philocognitionne sont pas des fardeaux, des maladies, des handicaps, mais des chances formidables !
Un haut potentiel n’a pas plus de problèmes qu’un autre, il a au contraire des capacités en plus. Vers mon PDF
Il a, comme tout le monde, des jours avec et des jours sans. Un environnement social et familial bienveillant ou non. Une histoire lourde ou joyeuse. Des besoins, des droits et des devoirs. Comme tout un chacun !
Certains haut potentiels vont bien, et d’autres vont mal, sans doute dans les mêmes proportions que chacun. Et si tous les proches, parents, amis, professeurs, managers de hauts potentiels ne sont pas forcément respectueux de ce qu’ils sont ou font, les proches, parents, amis, professeurs, managers de « normopensants » non haut potentiel non plus !
Mais…
Quand un haut potentiel va mal, c’est à sa manière, qui nécessite un accompagnement particulier. Quand il va bien, c’est d’une certaine manière aussi, à un rythme qui lui appartient.
Il a donc besoin, quand c’est nécessaire et quel que soit son âge, d’être accompagné par des personnes qui savent le détecter, l’entendre, le suivre pour ensuite l’accompagner ni trop ni trop peu, à la juste distance de la guidance à la rencontre de lui-même.
Certains professionnels connaissent bien ces questions, et seront à même de faire la part des choses entre ce qui relève de votre personnalité, de troubles psychoaffectifs liés à votre âge, votre histoire, votre éducation, ou bien qui concernent votre ou vos différences neurodéveloppementales. pour réaliser ce cheminement, vous êtes à la bonne adresse ! Rencontrons-nous, et voyons ensemble comment je peux vous aider à y voir plus clair.
Alors, HPI ?
Pour Une première approche de la surefficience cognitive, le questoinnaire de douance.Be vous aidera à entamer votre réflexion (il est ici : ). Pour accéder au site, c'est là qu'il faut aller :
Le seul moyen d'avoir des certitudes est de procéder à une évaluation cognitive. En France, les outils généralement utilisés sont le WISC pour les enfants de six à seize ans, le WAIS à partir de 16 ans. Il en existe pour les plus jeunes, qui peuvent parfois s'avérer utiles ; mais dans la mesure du possible, il me semble préférable d'attendre six ans, la fiabilité statistique des résultats, et donc des évaluations, paraissant meilleures. Dans tous les cas, un score supérieur de deux écarts types (130) par rapport à la moyenne (100) permettra de répondre à cette question.
Et après ?
Pour les enfants qu'on dit doués et leurs parents, l'Association Française pour les Enfants Précoces (AFEP) peut être riche de conseils, d'adresses, d'activités pour les enfants, d'échanges pour les plus grands et les parents. Leur site est là : AFEP
Pour tous, l'association internationale MENSA est très dynamique, et propose régulièrement des rencontres, des échanges, des activités diverses, souvent dans un esprit joyeux et ludique. Pour vous faire une idée, suivez ce lien : https://mensa-france.net/
Enfin, Si vous voulez participer de manière active à la diffusion et l'avancée des connaissances sur le sujet, le Centre d'Etudes et de Recherche sur le Haut Potentiel intellectuel (CERHP) vous accueillera au bout de ce lien :
HPI mais pas que ?
La page de mon site sur l'Asperger est là : Vous y trouverez les toute premières informations sur ce sujet, et les liens vers plus d'information.
Si vous soupçonnez un trouble Dys, vous pouvez vous rapprocher de ces associations :
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Si vous êtes sur cette page, ce n'est sans doute pas par hasard. C'est probablement que vous vous sentez concerné par le haut potentiel intellectuel (HPI), la surdouance, la surefficience cognitive, la précocité, ou tout autre nom empruntant au bestiaire ou aux grecs anciens, qui vous a guidé. A moins que vous ne vous interrogiez sur de potentielles particularités neuro développementales, que vous ayez été diagnostiqués avec un trouble du spectre autistique (TSA), ou plus précisément avec un syndrome d’Asperger, ou pas. A moins que la curiosité, un nom entendu ou mal compris, que sais-je. Quoi qu’il en soit, soyez bienvenu(e)s !
Deux raisons principales ont décidé de mon activité professionnelle actuelle :
- D’abord et avant tout ma passion pour l’étude de la psychologie humaine. Venu par hasard assister à un cours de Jean-Marie Charron au tout début des années 80, je ne suis plus jamais sorti de cette marmite ! J’ai su immédiatement que ces deux heures allaient décider de mes études et de ma vie professionnelle, que ma vie venait de changer de cap, et je ne l’ai jamais regretté.
- Concerné directement par un des mes enfants, je me suis intéressé au haut potentiel intellectuel, pour ce qui pouvait le concerner et me permettre de l’aider au mieux, puis pour les adultes et les adolescents de mon entourage intéressés par la chose. De là, les particularités neuro développementales sont entrées dans ma vie, et j’ai saisi l’opportunité de mieux connaître l’autisme Asperger en allant travailler deux ans au sein de l’association AFIRRA à Lyon.
J’ai créé mon cabinet en 2015 à Lyon, et consulte aujourd’hui sur trois lieux : dans mes locaux « historiques » situés quartier Guillotière, à Meyzieu dans nos propres locaux, et enfin depuis un bureau aménagé chez moi, spécifiquement dédié aux visio consultations (via Jitsi) qui ont pris pas mal de place depuis mars 2019…
Ma pratique, au carrefour de la clinique et de la psychologie du travail, me permet d’accompagner des transitions de vie personnelles aussi bien que professionnelles, mais aussi les traumatismes de l’enfance ou des accidents de la vie, d’aider à la sortie d’adictions, les pathologies alimentaires, etc. Les particularités neuro développementales sont bien entendu prises en compte chaque fois que nécessaire, et vont amener à moduler l’accompagnement en fonction de l’impact qu’elles pourront avoir sur la vie des personnes que je reçois. De par ma bonne connaissance de l’entreprise, on m’oriente fréquemment des personnes en situation de burn-out. Ma longue pratique de l’entreprise
Mon approche d’abord psychodynamique s’est enrichie de deux outils précieux à mes yeux : l’EMDR et l’hypnose Ericksonienne. Utilisés ponctuellement, ces outils permettent souvent de gagner rapidement en confort, et et rendre ainsi la suite du travail psychique plus efficace.
Quand je vous aurai dit que vous retrouverez tout cela (en mieux !) en cliquant sur les images ci-dessous, il me restera à vous souhaiter une belle journée !
Didier Gigandon
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La surefficience cognitive n'est pas juste une vue de l'esprit de parents désirant devenir exceptionnels à travers leurs enfants, ou un moyen de maquiller outrageusement les difficultés scolaires et/ou comportementales de leurs chers bambins. Ce terme recouvre avant tout une réalité neuro développementale, très clairement décrite dans les extraits que vous trouverez plus loin de cet article de Michel Habib, neurologue à l'hôpital de la Timone à Marseille. Cela entraîne aussi, pour les enfants tout comme pour les adultes qu'elles ou ils deviennent une sorte de rapport au monde, une manière d'aborder la vie, une forme de communication, toutes ces choses ténues, souvent difficiles à cerner ou identifier, qui me les rendent particulièrement attachants et passionnants.